Face au manque d’espace ou à la volonté d’augmenter la valeur de son bien, la surélévation d’une maison est une solution de plus en plus prisée à Sainte-Geneviève-des-Bois, dans l’Essonne. Mais avant d’ajouter un étage à son habitation, il est indispensable de connaître la réglementation locale et les contraintes fixées par le Plan Local d’Urbanisme (PLU). Cet article fait le point sur les hauteurs maximales autorisées dans cette commune, et explique comment un courtier en travaux peut vous aider à concrétiser votre projet sereinement.

 

 

Les règles de hauteur à Sainte-Geneviève-des-Bois

Chaque commune fixe ses propres règles d’urbanisme selon la zone où se situe le terrain. À Sainte-Geneviève-des-Bois, le PLU définit plusieurs zones principales, dont les plus courantes pour les habitations sont UH1, UH3 et UC1.

 

Zone UH1 : les quartiers pavillonnaires traditionnels

Dans ces zones résidentielles, la hauteur maximale des constructions est fixée à :

  • 9 mètres au faîtage (soit généralement un rez-de-chaussée + un étage + combles) ;
  • et à 6 mètres pour les façades de petite largeur (moins de 7 m).

Cela signifie qu’une surélévation légère (création d’un étage partiel ou aménagement de combles) est possible, à condition de respecter ces limites.

 

Zone UH3 : des possibilités un peu plus larges

La zone UH3, qui concerne certains secteurs résidentiels denses, autorise :

  • une hauteur maximale de 10 mètres au faîtage ;
  • et jusqu’à 12 mètres dans certains cas particuliers (bâtiments collectifs ou alignement particulier).

Cette zone permet donc des projets plus ambitieux, comme l’ajout d’un étage complet, sous réserve de compatibilité architecturale avec le voisinage.

 

Zone UC1 : proche du centre ou d’axes principaux

Dans cette zone, où les immeubles sont plus hauts, la réglementation autorise :

  • jusqu’à 15 mètres de hauteur au faîtage ou à l’acrotère, correspondant souvent à R + 4 (rez-de-chaussée + 4 niveaux).

Cela ouvre la voie à des projets plus importants de surélévation, notamment pour les petits collectifs ou les immeubles anciens.

 

 

Les démarches administratives à prévoir

Avant toute surélévation, il faut :

  1. Consulter le PLU de la commune (disponible sur le site de la mairie ou en service urbanisme).
  2. Vérifier la faisabilité technique (fondations, charpente, réseaux).
  3. Déposer un permis de construire si la surélévation ajoute plus de 20 m² de surface de plancher, ou modifie la structure de la toiture. Un architecte est obligatoire dès que la surface totale dépasse 150 m² après travaux.

 

Pourquoi faire appel à un courtier en travaux ?

Le courtier en travaux joue un rôle clé pour transformer un projet de surélévation en réussite.

 

Un accompagnement sur mesure

Il vous aide à définir votre budget, à estimer la faisabilité et à obtenir plusieurs devis fiables d’entreprises qualifiées, sans perdre de temps.

 

Des économies et de la sécurité

Grâce à son réseau de partenaires, il négocie les prix des artisans et garantit la conformité administrative (PLU, permis, assurances). C'est aussi l'assurance qu'il n'y ait pas d'erreurs lors de la surélévation de votre bien

 

Une coordination simplifiée

Il centralise les échanges, vérifie les plannings et veille à la qualité des travaux, du gros œuvre à la finition.

 

À Sainte-Geneviève-des-Bois, les hauteurs maximales autorisées pour une surélévation varient de 9 m à 15 m selon la zone du PLU. Bien connaître ces limites est essentiel pour éviter tout refus de permis ou litige. En s’appuyant sur un courtier en travaux, vous bénéficiez d’un accompagnement professionnel, d’une mise en relation avec les bons artisans et d’une réelle sérénité dans la réalisation de votre projet.